martes, 25 de mayo de 2010

Des crottes de singes pour reboiser la forêt amazonienne

De prime abord, on pourrait se dire que ça ne sert à rien de savoir ce que chie un singe en pleine forêt péruvienne. Sauf que le sort de la flore amazonienne passe en partie par ces précieuses crottes. A Iquitos, dans le nord-est du Pérou, Laurence Culot, de l'université de Liège, s'est adonnée à des observations peu conventionnelles.

Cette chercheuse en biologie du comportement travaille sur l'interaction entre petits singes et graines à faire germer. Durant plusieurs mois, du matin au soir dans cette zone la moins peuplée du Pérou, elle a pisté des tamarins afin d'examiner leurs selles et observer comment ces petites bêtes, en se nourrissant de fruits etde graines, les dispersaient dans la forêt au gré de leurs déplacements et de leurs moments de relâche.

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jueves, 22 de abril de 2010

Ecosia

Une découverte intéressante:

Ecosia est un moteur de recherche internet qui fonctionne en association avec Bing, Yahoo! et le WWF. Fondé par Christian Kroll, également fondateur de Forestle, à Wittenberg en Allemagne, Ecosia est disponible depuis le 3 décembre 2009. Ecosia n'est pas une association à but non lucratif mais elle assure reverser un minimum de 80% de ses revenus au projet de protection des forêts tropicales de la WWF. Ainsi, chaque recherche sur Ecosia permettrait de sauver 2 m² de forêt tropicale.

domingo, 18 de abril de 2010

Chavín de Huántar

Mon amie Cruz et moi planifions une petite escapade au Callejón de Huaylas pour la fin mai. Nous nous rendrons à Huaraz, située à environ 400 kilomètres de Lima, au creux de la Cordillera Blanca et de la Cordillera Negra, de magnifiques et imposantes chaînes de montagnes.

Je suis déjà allée à Huaraz, mais je n'ai pas eu la chance de visiter la site archéologique Chavín de Huántar. J'aurais, cette fois-ci, l'opportunité de me reprendre!

Le site archéologique est situé à 3 200 m d'altitude dans les Andes. Le site comporte deux structures principales, le vieux temple et le nouveau temple. Le vieux temple avait une structure en U orientée vers l'intérieur avec une cour centrale. La cour comportait des obélisques et des monuments en pierre ornés de bas-relief représentant des jaguars, des caïmans, faucons et diverses formes anthropomorphiques. L'intérieur du temple contenait un dédale de corridors, de chambres et de conduites d'eau.

Près de Huaraz, on retrouve aussi les bains thermaux de Monterrey et Chancos. On dit que les eaux contiennent divers minéraux aux propriétés curatives. J'irai donc y chercher un repos réparateur et mérité!

À ne pas manquer lorsqu'on visite la région: Carhuaz, la lagune de Llanganuco, Yungay et le glacier Huascarán.

40 grados de fiebre dorada

El precio del oro se ha disparado y la producción informal también. Esta fiebre elevó tanto la temperatura que ocasionó convulsiones sociales con saldos lamentables.El último y accidentado acuerdo, fruto del reciente paro, ha sido la elaboración de un Plan de Formalización de la Minería Artesanal que no es nuevo. Es más: actualmente existen experiencias exitosas de formalización, apoyadas por ONG, que son ejemplos por seguir. El decreto de urgencia 012, elaborado por el Ministerio del Ambiente y que solo se aplica a Madre de Dios, es importante porque limita el territorio de exploración y explotación aurífera a 600 mil hectáreas, suspende los petitorios mineros, en tanto hay 2.500 derechos mineros sobrepuestos a otras actividades, y prohíbe el uso de dragas industriales, costosas embarcaciones que parecen casas flotantes, desde donde se succiona la grava de los ríos.

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Les entreprises minières canadiennes au Pérou

Desde hace un tiempo los nativos awajún-wampis de las comunidades del distrito del Cenepa (provincia de Condorcanqui, en Amazonas) exigen al Estado peruano la anulación definitiva de las concesiones de una empresa minera ahora en manos de una operadora canadiense, Dorato Perú. Recientemente y ante las evidentes muestras de transgresiones a las normas relativas al impacto socio-ambiental de la zona, el gobierno no tuvo otra opción que suspender en forma “indefinida” las actividades de exploración de esta minera canadiense.

Para algunos, este incidente entre comunidades locales y una compañía canadiense puede resultar difícil de entender más aún cuando se sabe que en foros vinculados a las actividades económicas extractivas se considera a Canadá como el país que mejor práctica minera realiza en el mundo. Su alto grado de tecnología, su diversidad extraordinaria de actores especializados y sus elevados estándares ambientales son elementos siempre destacados.

Sin embargo, un análisis más profundo nos permite observar que las prácticas de ciertas compañías canadienses han manchado la reputación de esta industria, tanto al nivel nacional como internacional. La situación es bastante seria, si nos atenemos a las palabras del parlamentario del partido liberal canadiense John MacKay: “la reputación de Canadá se halla en estado de sitio".

¿Qué tan real, entonces, es esta imagen optimista que se proyecta de la práctica minería en Canadá?

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domingo, 28 de marzo de 2010

Hummus

J'avais le goût de me préparer du hummus depuis au moins une semaine. Pas difficile de trouver des pois chiches à Lima, mais où trouver du tahini?

Pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple? Au lieu de parcourir la ville à la recherche de l'ingrédient manquant, j'ai trouvé une délicieuse recette de humus sans tahini, ici.

Miam.

Maman m'a aussi fait parvenir la sienne:

1 tasse de pois chiches cuits
1/4 de yogourt nature
1/2 c.thé de cari en poudre
2 c.à soupe de jus de citron

Passer au robot culinaire tous les ingrédients jusqu'à consistance crémeuse.

jueves, 25 de marzo de 2010

Les glaciers péruviens fondent à vue d'oeil

Les glaciers tropicaux, situés sous des latitudes où les radiations solaires sont très intenses, ont été particulièrement touchés par le réchauffement climatique. Lors du premier inventaire réalisé en 1960, la Cordillère blanche était couverte par 723 km2 de glaciers.

Aujourd'hui le Pérou reste toujours le pays qui compte le plus de glaciers tropicaux, mais le dernier relevé satellite de 2003 a montré qu'ils avaient fondu pour atteindre 535 km2.

«Non seulement nous avons perdu 26% de masse glacière en 33 ans, mais le phénomène s'accélère, souligne Jesus Gomez, un autre glaciologue.

Jusqu'aux années 70, la vitesse de recul du front des glaciers était de 9 mètres par an... Aujourd'hui elle dépasse les 20 mètres.»

Ces dernières années, 10% des glaciers péruviens ont déjà disparu dans l'indifférence générale comme le Broggli, face au Huascaran, où les premières plantes poussent entre les pierres noires.
Privés de cette éponge naturelle qui libère l'eau lors de la saison sèche, les paysans du village de Huashao, en contrebas, sont désemparés.

Magno, porteur pour randonneurs étrangers, sait bien que les touristes s'époumonent dans la Cordillère blanche pour une seule raison: sa couleur.

«Ils admirent les glaciers, ils font des courses de glace, des ascensions. Si tout cela disparaît, ils vont rester chez eux», soupire-t-il.

Theophilia, son épouse, s'inquiète surtout pour le canal bordant ses champs de maïs et de pommes de terre, où depuis des temps immémoriaux s'écoule l'eau de la fonte. «Une cinquantaine de personnes l'utilisent et déjà, en août et en septembre, il n'y a plus d'eau.»

Les modèles scientifiques, en fait, prédisent que la fonte accélérée des glaciers va d'abord maintenir le flux des rivières andines, la baisse drastique de leur niveau n'intervenant qu'après 2030. Mais dès maintenant, les conflits liés à l'usage de l'eau se multiplient.

«La population augmente et l'eau des montagnes ne sert pas qu'aux champs des paysans quechuas, rappelle Marcos Zapata. Le Rio Santa, qui draine la Cordillère blanche, est utilisé par un barrage hydroélectrique qui fournit 5% de l'électricité du pays. Plus loin ce sont les mines, puis les cultures de légumes pour l'exportation qui sont aussi de très gros consommateurs.»

À Lima, à 450 km de la Cordillère blanche, l'eau est également devenue un enjeu crucial. De grands travaux ont été entrepris pour alimenter cette ville de huit millions d'habitants, plantée en plein désert. Une vingtaine de lacs ont été créés de l'autre côté des Andes, et un tunnel de 10 km a été percé dans la montagne. Mais le répit, là aussi, risque d'être de courte durée: comme le Pastoruri, ou le Broggli, les glaciers qui alimentent la capitale péruvienne sont eux aussi en voie de disparition.

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Los glaciares andinos desaparecerán inevitablemente en los próximos 5 o 6 años afirmó esta semana el jefe de la División de Cambio Climático del Banco Interamericano de Desarrollo (BID), Juan Pablo Bonilla.

Bonilla señaló que en momentos en que se conmemora el Día Mundial del Agua es importante insistir en la necesidad de que las naciones se adapten a las nuevas condiciones ambientales que hay en el mundo, y en especial los países de la cordillera de los Andes.

La declaración se efectuó en el marco de la asamblea anual de gobernadores del BID, que se celebra desde el 19 de marzo Cancún, México.

El experto indicó en declaraciones a EFE que países como Bolivia y Perú ya están experimentando “impactos muy directos” por “falta de agua para proyectos de irrigación agrícola e hidroeléctricos”, los cuales dependen del líquido que escurre de los glaciares.

“Hoy ya no basta con hacer un llamado para el uso eficiente y racional del agua. Mucha gente piensa que tenemos mucha agua, que nos sobra el agua, pero la realidad es que tenemos que adaptarnos a no tenerla”, precisó.

El funcionario informó que el Banco Interamericano de Desarrollo colabora con el Gobierno peruano para impulsar un proyecto de captación de agua pluvial.

“En Perú el BID tiene un proyecto de recuperación de andenes (una forma tradicional de agricultura por niveles), que son las terrazas que permiten almacenar agua de una manera eficiente”, explicó.

A su juicio, el ejemplo del proyecto peruano es una medida natural de adaptación al problema de la falta de agua para el sector agrícola.

Los glaciares andinos forman parte del sistema montañoso de América del Sur, atraviesa Argentina, Bolivia, Chile, Ecuador, Colombia, Perú y parte de Venezuela. En 2009 el BID aprobó préstamos por un monto total de 3508 millones de dólares para mejoramiento ambiental, cambio climático y energía renovable en Latinoamérica.

Ver nota en Servindi.